AgronomieL'agronomie (du grec agronomos) est l'ensemble des sciences exactes, naturelles, économiques et sociales, et des techniques auxquelles il est fait appel dans la pratique et la compréhension de l'agriculture. Les sciences vétérinaires sont parfois exclues de cette définition.
Agriculture et agronomieLes termes d'agriculture et d'agronomie sont souvent utilisés indifféremment, alors qu'il s'agit de deux concepts différents.D'une façon générale.
L'agronomie est la science visant à comprendre les mécanismes en jeu en agriculture et à les améliorer. Ceci explique que l'on parle parfois de sciences agronomiques.
L'agriculture quant à elle est la pratique de l'activité agricole.
Idéalement l'agriculture se nourrit des réflexions agronomiques. Dans son acception restreinte, l'agronomie embrasse la connaissance des techniques agricoles en interaction avec le milieu (date de semis, valeur des assolements, choix des semences, calcul de la minéralisation de la matière organique, techniques d'élevage...). Dans une acception plus large, l'agronomie comprend également la connaissance de l'organisation socio-économique de l'agriculture (forme sociale, financement, fonctionnement des marchés, structures familiales).
Histoire de l'agronomieSi dès la plus haute antiquité les évocations des travaux ruraux sont présents dans l'iconographie (bas reliefs égyptiens par exemple) et font l'objet de l'attention des élites dans certaines civilisations (rôle des paradeisia, palais et fermes impériale, dans l'empire perse achéménide) il faut attendre l'agronome punique Magon (antérieur au 2e siècle av J-C mais sans qu'il soit aisé de le dater) pour que soit fait référence à un traité d'agronomie structuré. Sa valeur fut si bien reconnue que le Sénat romain en ordonna la traduction. D'une manière générale l'aristocratie romaine marqua un certain intérêt pour l'agronomie ce qui se traduisit par une succession d'auteurs : Caton l'ancien, Varron, Columelle et Palladius. Au moyen-âge, le progrès agronomique diffuse essentiellement au travers des abbayes notamment bénédictines. Dès la renaissance, le regain général de l'écriture et de la lecture affectera également l'agronomie. Si dans un premier temps on se contenta essentiellement de publier en latin puis dans les langues vernaculaires les traités antiques, dans un deuxième temps furent produits des traités originaux. Le plus connu en France est celui du gentilhomme Olivier de Serres.
A l'occasion je felicite mon Cousin Samir qui a acompli ces etudes a L'ITMA Universitée de tiaret. et je passe le bjr a tous les gens que je connais fe Departement de l'agronomie fe ITA et je leur souhaite bonne contuniation.