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| un lieu , une histoire | |
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Nasrus black Admin
Nombre de messages : 2489 Age : 41 Localisation : Mostaganem Emploi/loisirs : medecin interne des hopitaux d'Oran Humeur : calme Réputation : 0 Points : 3474 Date d'inscription : 30/05/2008
| Sujet: un lieu , une histoire Mar 27 Oct - 1:14 | |
| L'Algérie kbira Lah ybarek et pleine de cites, monuments, et paysages... So ici, on parle de ces lieux, on poste leur images, mais surtout! on raconte leurs histoires Je commence par l'Opéra d'Alger: Bonne lecture... <BLOCKQUOTE> L’opéra d’Alger (aujourd’hui Théâtre national d’Alger, TNA) a été inauguré le 29 septembre 1853. C’est l’œuvre de F. Chassériau et de l’architecte toulonnais Ponsard. Sa réalisation dura trois ans : de mai 1850 à septembre 1853. Certains matériaux de sa façade ont été importés d’Arles et de Valence. Au début, son édification était prévue par l’administration coloniale sur la place du Gouvernement (place des Martyrs). Finalement, on préféra l’axe du futur square Bresson (Port Saïd), prévu pour 1 119 places. La salle de l’opéra est agrandie en 1860 puis en 1871. Elle comptera 1 534 places jusqu’à l’incendie de 1882. Sur les ruines de la DjeninaL’opéra fut construit sur le terrain d’une ancienne caserne des gardes turcs. Confié à l’entreprise Sarlin, il fut financé par les ruines de la Djenina qui avait été bâtie en 1662 par le pachalik Ismaël. La Djenina s’étendait du centre-ouest de la place du Gouvernement à la rue Djenina. Elle comptait de nombreux bâtiments dont le palais du sultan construit par Salah Raïs, de 1552 à 1556, la mosquée Djamaâ Echchouach, Dar Ahmed : harem du dey Hamed (ex-rue Bruce) assassiné en 1805, les fours et les magasins de la manutention. Le petit jardin (djenan) donna son nom à l’ensemble des constructions. Les pachas d’Alger habitèrent la Djenina jusqu’en 1817. A partir de cette date, Ali Ben Hamed, avant-dernier pacha d’Alger, se retira à La Casbah. En 1845, un incendie ravagea une grande partie de ce quartier. L’incendie de l’opéraEn 1882, un incendie détruisit l’opéra d’Alger. Seuls les murs extérieurs furent épargnés. L’architecte Oudot y apporta alors quelques transformations : la scène et les décors de l’arrière-scène sont agrandis par une salle hispano-mauresque dans les sous-sols du marché de la Lyre (Bouzrina). Le nombre de places passe à 2 095. La façade conserve son style et son décor. Taphoureau et Guermonprez donnent une touche plus moderne à la salle en 1936. Elle sera complètement relookée en 1969 à l’occasion du festival de la musique panafricaine. </BLOCKQUOTE> | |
| | | sana V.I.P
Nombre de messages : 217 Age : 36 Localisation : . Emploi/loisirs : .... Humeur : . Réputation : 0 Points : 375 Date d'inscription : 25/10/2008
| Sujet: Re: un lieu , une histoire Mar 27 Oct - 1:32 | |
| merci nasrus pr l article .....et bravo c une tres tres bonne idee Chapeau bas pour toi nasrus | |
| | | maissa aide
Nombre de messages : 1108 Age : 32 Localisation : tiaret Emploi/loisirs : lyceenne Humeur : contente d etre parmi vs Réputation : 1 Points : 1271 Date d'inscription : 10/08/2008
| Sujet: Re: un lieu , une histoire Mar 27 Oct - 22:30 | |
| salaaam merci nasrus bonne idée ,bon je m'exuse j'ai pas des truc à ajouter pr le moment ou plutôt j'ai pas assé de temps
mais si je ne trampe pas ,j'ai déja vu 1 sujet pareil sur vision | |
| | | sana V.I.P
Nombre de messages : 217 Age : 36 Localisation : . Emploi/loisirs : .... Humeur : . Réputation : 0 Points : 375 Date d'inscription : 25/10/2008
| Sujet: Re: un lieu , une histoire Jeu 29 Oct - 0:05 | |
| Basilique Notre-Dame d'Afrique
https://i.servimg.com/u/f82/13/32/90/12/28668612.jpg https://i.servimg.com/u/f82/13/32/90/12/28668712.jpg Notre-Dame d'Afrique est la basilique d'Alger en Algérie. Elle fut achevée en 1872, après quatorze ans de travaux. L'architecte, Fromageau[1], la construisit sur un plan byzantin, la surmontant d'une coupole. Son plan offre la particularité d'être orientée avec le chœur au sud-ouest (au lieu de l'est habituellement). Construite sur un promontoire dominant la mer de 124 m, au nord d'Alger, elle est accessible par un téléphérique depuis Bologhine (ex-Saint Eugène). La basilique est considérée comme le miroir et le pendant, de l'autre coté de la Méditerranée, de Notre-Dame-de-la-Garde à Marseille. Son importance symbolique et religieuse se trouve résumée dans cette maxime inscrite en français, en arabe et en kabyle sur le mur de l'abside derrière l'autel : « Notre Dame d'Afrique priez pour nous et pour les Musulmans. » Cette statuette en bronze de La Vierge fut offerte à Mgr Dupuch, premier évêque d'Alger, de passage à Lyon en mai 1840. C'est la copie d'une oeuvre originale créée par Bouchardon en 1750. Elle fut placée provisoirement dans un monastère à Bouchaoui (anciennement La Trappe) dont elle ornait le frontispice avec la devise suivante "Ils m'ont établie leur gardienne". Sur l'insistance de deux ouvrières lyonnaises qui l'accompagnaient , Marguerite Berger et Anna Cinquin, Mgr Pavy, le nouvel évêque, fit construire en 1857 une chapelle provisoire sur une colline et alla récupérer la statue de Marie. Il avait dit aux moines à cette occasion :"Vous en avez fait la gardienne de votre monastère, je veux en faire la Reine d'Afrique". La pose de la première pierre eut lieu le 14 octobre 1855, mais l'édification de la basilique, dont les plans avaient été confiés à un architecte de renom Mr Fromageau, ne commença que le 2 février 1858. L'édifice fut consacré quatorze ans plus tard, le 2 juillet 1872, par Monseigneur Lavigerie. C'est en mai 1873 que Mgr Lavigerie entreprit le transfert de la statue de Marie tout en demandant au Pape Pie IX la faveur de pouvoir la couronner "Reine d'Afrique". La requête fut agréée et la cérémonie fixée au 30 avril 1876, date retenue pour célébrer Notre Dame d'Afrique sur tout le continent. Monseigneur Pavy, décédé en 1866 fut inhumé dans le chœur de la basilique. * L'Orgue de la basilique provient de la Villa Georges dans laquelle il avait été installé en 1912 en présence du compositeur, pianiste et organiste français Camille Saint-Saëns.[3] A la mort des propriétaires, en 1930, l'Orgue de la Villa Georges fut transféré à Notre Dame d'Afrique. Mis en réfection en 2001 à Vaison-la-Romaine, il a été remonté dans la basilique et béni le 31 mai 2002. La restauration de la basiliqueAprès une longue période d'abandon, la basilique très dégradée par les vents marins et les tremblements de terre, surtout celui de 2003, va prochainement être restaurée. Cette restauration sera supervisée par Xavier David, architecte marseillais qui a mené celle de Notre-Dame de la Garde. Le projet de restauration est entré dans une phase active en novembre 2006 avec le bouclage de son financement. Il est d'autant plus intéressant qu'il fait intervenir plusieurs acteurs : 3 collectivités locales françaises, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, le département des Bouches-du-Rhône et la ville de Marseille (440.000 € chacune) abondées à parités par l'état français, l'Union européenne (1 million d'euros), la wilaya d'Alger, (600 000 €). l'Etat algérien ainsi que des entreprise nationales algériennes et des filiales d'entreprises françaises en Algérie ont aussi participé à ce montage.[5]. Les travaux de restauration sont confiés à une entreprise française qui s'est associée des compétences algériennes. Un chantier école, en participant activement au chantier, permet à de jeunes professionnels issus de la Casbah de se former aux métiers de la taille de pierre et de la maçonnerie sur patrimoine ancien. La premiére tranche des travaux s'est terminée en Septembre 2008 et la seconde est engagée depuis cette date pour s'achever au cours de l'été 2010. | |
| | | google membre
Nombre de messages : 83 Age : 38 Localisation : n'importe ou, Emploi/loisirs : Lire.... Humeur : euh!!! trés bonne qustion !! Réputation : -1 Points : 47 Date d'inscription : 03/01/2009
| Sujet: Re: un lieu , une histoire Jeu 29 Oct - 20:55 | |
| vous ne pouvez pas parlé de la jame3 kdime de tebana ! hein ! ou ché pas keklke de chose de mosta ! commençont par devlopé et exposé notre entourage aprés, allons nous vers l'exterieur! crdlmnt | |
| | | Sarah aide
Nombre de messages : 1212 Age : 37 Localisation : Mostaganem Emploi/loisirs : Etudiante Réputation : 0 Points : 622 Date d'inscription : 13/11/2008
| | | | bisra aide
Nombre de messages : 1521 Age : 39 Localisation : Algerie(Tiaret) Emploi/loisirs : etudiante en medecine Humeur : un peu de tout héhéhé Réputation : 6 Points : 1139 Date d'inscription : 05/08/2008
| Sujet: Re: un lieu , une histoire Ven 30 Oct - 16:57 | |
| - google a écrit:
- vous ne pouvez pas parlé de la jame3 kdime de tebana !
hein ! ou ché pas keklke de chose de mosta ! commençont par devlopé et exposé notre entourage aprés, allons nous vers l'exterieur! crdlmnt merci mais on est Algériens et pas régionalistes ,ya un seul drapeau ,pas 48 et si vous aimez mostaganem ya aucun problème ,parle d'elle ,on attend,merci | |
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Nombre de messages : 83 Age : 38 Localisation : n'importe ou, Emploi/loisirs : Lire.... Humeur : euh!!! trés bonne qustion !! Réputation : -1 Points : 47 Date d'inscription : 03/01/2009
| Sujet: Re: un lieu , une histoire Ven 30 Oct - 23:37 | |
| ki a dit k'on est ' la charbia ke ta écri' mais écoute chere OepnMinde, comment veut tu de parlé d'alger alors ke tu ne connais mem pas lé place historiq de ton coin ..... euh , | |
| | | Nasrus black Admin
Nombre de messages : 2489 Age : 41 Localisation : Mostaganem Emploi/loisirs : medecin interne des hopitaux d'Oran Humeur : calme Réputation : 0 Points : 3474 Date d'inscription : 30/05/2008
| Sujet: Re: un lieu , une histoire Sam 31 Oct - 3:25 | |
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| L'horloge de l'hotel de ville de Mostaganem a été mise en place par Mendez Gines bijoutier horloger à Mostaganem et elle est signée MENDEZ Horloger-Bijoutier et elle fonctionne toujours . |
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Nombre de messages : 83 Age : 38 Localisation : n'importe ou, Emploi/loisirs : Lire.... Humeur : euh!!! trés bonne qustion !! Réputation : -1 Points : 47 Date d'inscription : 03/01/2009
| Sujet: Re: un lieu , une histoire Dim 1 Nov - 10:28 | |
| Ce dimanche 31 octobre 1954, à la tombée de la nuit, un groupe de révolutionnaires sous les ordres de Sahraoui et Belhamiti se réunit au lieu dit "Oued Abid". Sahraoui dispose d'armes de guerre (3 carabines italiennes, un fusil mauser et des munitions) qui lui ont été procurées par Bordji Amar.
Cette réunion a pour but l'organisation d'une attaque qui doit être déclenchée à une heure du matin. Tous se réunissaient vers le centre de Cassaigne (Sidi Ali); Belhamiti prenait la tête d'un demi-groupe composé de Mehantal, Belkoniène, Chouarfia qui devaient se poster légèrement au sud et à l'Est des bâtiments de la gendarmerie.
L'autre demi groupe sous la direction de Sahraoui Abdelkader et composé de Belkoniène Taïeb, Tehar Ahmed et Beldjilali Youssef allait par l'Ouest s'approcher de la cour extérieure de la gendarmerie. C'est à ce moment là que survint une automobile qui stoppait devant la cour extérieure, côté est de la gendarmerie.
Le demi groupe de soutien de Belhamiti se dissimula dans un fossé bordant la route. Belkoniène et Tehar de leur côté, de peur d'être surpris eux aussi, cherchèrent à se dissimuler derrière les bâtiments de la gendarmerie ; ils y retrouvèrent Saharaoui Abdelkader qui leur donna l'ordre de se porter en avant et de tirer sur les arrivants.
Laurent François, conducteur du véhicule, et Mendez Jean-François, son compagnon de route, revenaient d'un bal de Mostaganem et rentraient à Picard ; sur leur route ils étaient arrêtés par monsieur Mira - gérant de la ferme Monsonégo - qui leur demanda d'alerter la gendarmerie car il était attaqué. Des coups de feu claquèrent alors mais sans les atteindre. Laurent François et Mendez Jean-François se précipitèrent donc vers Cassaigne et venaient donner l'alerte à la gendarmerie. Laurent François sonnait au portail d'entrée et tous deux attendaient qu'on leur ouvre ; ils étaient éclairés par l'ampoule électrique allumée au-dessus du portail qui faisait d'eux une excellente cible pour les tireurs embusqués.
Belkoniène et Tehar, en position de tireurs immédiatement derrière la clôture en fil de fer de la gendarmerie, à une vingtaine de mètres environ de Laurent François et de Mendez Jean-François, tirèrent chacun un coup de feu. Laurent François s'écroula, mortellement atteint d'une balle à la nuque ; Mendez Jean-François s'affaissa mais n'était pas atteint par la balle qui allait s'écraser près d'une meurtrière dans le mur de la gendarmerie. Un troisième coup de feu fût tiré sans atteindre sa cible. Les révolutionnaires s'enfuirent et se replièrent au lieu-dit "La pierre Zerouki".
Verdict de la Cour d'Assises de Mostaganem du 24 juillet 1955 :
Condamnés à la peine capitale : Belkoniène Taïeb, Tahar Ahmed et Saharoui Albdelkader. Travaux forcés à perpétuité : Belhamiti. Vingt ans de travaux forcés : Chouarfia, Belkoniène Mohamed. | |
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